En restituant par la danse la convivialité des cafés populaires, la compagnie C’hoari ravive la flamme de ces lieux de vie.
Après s’être nourries de l’esprit du fest-noz dans leur première pièce chorégraphique Tsef Zon(e), Nolwenn Ferry et Pauline Sonnic ont choisi d’explorer une autre scène du lien social, peut-être même son cœur battant : les bars populaires. Sillonnant les troquets et autres tavernes de Bretagne durant plusieurs semaines, elles y ont collecté des moments, des gestes, des ambiances.
L’aboutissement : un ballet à deux irradié d’une complicité solaire, empruntant à la fois son langage à la danse contemporaine et aux musiques traditionnelles bretonnes et irlandaises. Elles y rejouent par le corps une intimité des bistrots, la chaleur d’un vivre-ensemble, mais aussi l’expression singulière des solitudes et des individualités. Enivrant !
Tout public dès 8 ans
L’aboutissement : un ballet à deux irradié d’une complicité solaire, empruntant à la fois son langage à la danse contemporaine et aux musiques traditionnelles bretonnes et irlandaises. Elles y rejouent par le corps une intimité des bistrots, la chaleur d’un vivre-ensemble, mais aussi l’expression singulière des solitudes et des individualités. Enivrant !
Tout public dès 8 ans

